Chronique de Priscilla

J’ai toujours du mal à faire un retour sur une lecture que je n’ai pas aimé. Et là je n’ai pas du tout aimé. En fait rien ne m’a plu. Ni les dessins, ni le choix des couleurs, ni les textes (qu’en plus j’ai souvent eu du mal à comprendre), ni même la typographie…et encore moins l’histoire.
Gros flop pour moi. Je me suis clairement forcée à aller au bout. J’avais pris plusieurs tomes d’avance à la bibliothèque et me réjouissais à l’idée de ce voyage en Afrique, au final je prends mon vol retour immédiatement !
Désolée pour cette critique négative. Les retours sont plutôt positifs dans l’ensemble alors ce n’est que mon ressenti personnel, ça ne s’explique pas
Cette lecture valide :
La consigne n°57 du défi Les Déductions élémentaires
A propos du livre :
Résumé : Côte d’Ivoire, 1978. Aya, dix-neuf ans, vit à Yopougon, un quartier populaire d’Abidjan. Ça sent le début des vacances mais très vite les choses vont commencer à se gâter…«Dans les années 1970, la vie était douce en Côte d’Ivoire. Il y avait du travail, les hôpitaux étaient équipés et l’école était obligatoire. J’ai eu la chance de connaître cette époque insouciante, où les jeunes n’avaient pas à choisir leur camp trop vite, et ne se préoccupaient que de la vie courante : les études, les parents, les amours… Et c’est cela que je veux raconter dans « Aya », cette Afrique qui subsiste malgré tout car, comme on dit chez nous, «la vie continue»…» (Marguerite Abouet). Scénario de Marguerite Abouet. Dessin de Clément Oubrerie
Album de 112 pages – se le procurer
Le mot de Sally Rose
Merci beaucoup pour ce partage Priscilla. Ah ! Les goûts et les couleurs…. Nous sommes riches de nos différences 🤗