Les Ombres du roi squelette de Serge Brussolo

Chronique d’Audrey

Un tome qui me laisse un peu sur ma faim, avec du bon et du moins bon.

Brussolo nous concocte encore des scènes qui témoignent de sa fertile imagination. Les aventures de Shagan et Junia sont toujours très mouvementées dans lesquelles l’ennui n’est pas de mise avec notre duo de héros si atypique. Si vous aimez la fantasy sombre, très sombre, la saga du roi squelette peut vous satisfaire. L’auteur utilise des thèmes tabous tels que le cannibalisme, si bien que l’on sent par endroit les poils se hérisser quelques peu… 🙂


Si j’ai apprécié de revoir notre duo, j’avoue avoir été cependant un peu perplexe sur l’intrigue en elle-même qui me semble un peu décousue. J’ai eu l’impression que l’auteur avait perdu son objectif premier et la réaction des différents protagonistes ne m’a pas semblé très vraisemblable.
Deuxième gros bémol : ce livre se présente comme une suite. Sauf que Brussolo a fait plusieurs histoires alternatives sur le roi squelette. Cette suite ne semble correspondre à aucune d’entre elles. Du moins elle n’y colle pas comme un gant épouse une main… On dirait plus une moufle. Moi qui aime les suites linéaires, j’avoue que cela m’a un peu gênée.

Brussolo reste un auteur que j’ai eu cependant plaisir à découvrir. Je lirai d’autres tomes de lui mais pour ce qui est de Shagan et Junia, je pense m’arrêter là. Cette suite n’est à mon sens pas nécessaire pour découvrir le roi squelette.

Cette lecture valide :

A propos du livre :

Résumé : Shagan, le guerrier cul-de-jatte juché sur les épaules de l’ogresse géante Junia, pensait en avoir terminé avec le Roi Squelette dont les os finissaient de tomber en poussière au fond d’un tombeau obscur… c’était sans compter sur Jarak, l’héritier de ce roi magicien sanguinaire, qui reprend le flambeau de ses conquêtes et de ses massacres avec toujours plus de ferveur. Shagan et Junia sont obligés de fuir, escortant les hauts dignitaires d’un château assiégé dans un monde souterrain secret où leur lâcheté les a poussés. Dans une immense caverne, ils vont découvrir un monde de fou, où les pierres de lumières réduisent en cendre les mineurs qui les exploitent, où les ténèbres peuvent vous engloutir et vous faire disparaitre à jamais et où les lions albinos apprennent à parler parce qu’ils sont possédés par les âmes des morts. Finalement, Shagan et Junia auraient peut-être mieux fait d’affronter Jarak le bourreau que de se retrouver au cœur de la Nuit des Lions… un cauchemar sans retour.

Roman de 320 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Audrey. J’ai déjà entendu dire que cet auteur prolifique a une bibliographie de qualité inégale. Il en reste certainement beaucoup de bonne facture à découvrir ! ☺

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Charlie et la chocolaterie de Roald Dahl

Chronique de Coquelicot – 9 ans

Ce document a été créé et certifié chez IGS-CP, Charente (16)

J’ai bien aimé le livre « Charlie et la chocolaterie » parce que c’était rigolo quand tous les enfants sauf Charlie tombaient dans un piège. Le but de Mr Willy Wonka c’était de trouver un nouveau propriétaire pour l’usine de chocolat. Mon personnage préféré est Mr Willy Wonka parce qu’il était toujours drôle et tout le temps heureux.

Cette lecture valide :

La consigne n°7 du défi Des li(v)res jeunesse

A propos du livre :

Résumé : Le métier de visseur de capuchons de tubes de dentifrice ne permettait pas à Mr Bucket de subvenir aux besoins de sa nombreuse famille : Mrs Bucket son épouse, grand-maman Joséphine et grand-papa Joe, grand-papa Georges et grand-maman Georgina. Sans oublier son fils Charlie dont le rêve le plus fou était de manger du chocolat ! Aussi, quelle ne fut pas l’émotion du jeune garçon en apprenant que Willy Wonka invitait cinq enfants à visiter sa merveilleuse chocolaterie, la plus célèbre du monde entier. Les cinq enfants qui découvriraient un ticket d’or caché dans cinq bâtons de chocolat… «Moi, Willy Wonka, j’ai décidé de permettre à cinq enfants de visiter ma chocolaterie cette année. Ces cinq chanceux seront initiés à tous mes secrets, à toute ma magie.» Willy Wonka est le plus grand inventeur de chocolat de tous les temps. Et savez-vous qui est Charlie ? Charlie Bucket est le héros de cette histoire. Il y a quatre autres enfants dans ce livre, d’affreux petits garnements, nommés Augustus Gloop (goinfre), Veruca Salt(gâtée), Violette Beauregard (mordue de chewing-gum) et Mike Teavee (obsédé par la télé).Les voilà qui arrivent, avec leurs tickets d’or, à la chocolaterie Wonka ! Quels secrets vont-ils découvrir ?Notre tournée va commencer ! Mais ne vous dispersez pas ! Wonka n’aimerait pas perdre l’un de vous à ce stade…

Roman de 210 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Coquelicot. Tout comme toi, j’avais bien aimé ce roman plein de trouvailles amusantes ❤

Carrie de Stephen King

Chronique de Ranine

Que dire, à part que j’ai aimé ? Je ne savais rien de l’histoire, je n’ai pas encore vu le film (chose que je vais faire rapidement). Une héroïne attachante, une histoire effroyable. Du King quoi !

Cette lecture valide :

A propos du livre :

Résumé : Carrie White, dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, vit un calvaire : elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu’elle le maîtrise encore avec difficulté… Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l’aimer, l’invite au bal de printemps de l’école. Une marque d’attention qu’elle n’aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d’un renouveau !

Roman de 283 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Ranine. Un des tout premiers que j’ai lu de l’auteur, quel souvenir ! ❤

Quart de nuit Tome 1 : Kiera Hudson et les vampires de Tim O’Rourke

Chronique de Priscilla

Ça fait un moment que je n’avais pas lu de livres avec des vampires !

Celui-ci est vraiment sympathique et offre tout ce qu’on attend de ce genre de lecture : un peu d’évasion.

L’écriture est fluide et l’intrigue très sympa, ça se lit vraiment tout seul. 
A noter que pour une fois on n’a pas affaire à une héroïne niaise et manipulable, qui tombe amoureuse du (ou des) premier(s) venu(s).

Il y a encore deux tomes avec Kiera, et si j’en crois les résumés elle en a encore sous le pied donc je vais m’empresser de les lire =)

Cette lecture valide :

La lettre O du défi Abécédaire

A propos du livre :

Résumé : Lorsque la jeune recrue de police, Kiera Hudson, vingt ans, est affectée dans la ville isolée de Ragged Cove, sa vie bascule. Elle enquête sur une série de meurtres horribles, de profanations de sépulture et de disparitions. Kiera utilise ses dons de vision exceptionnels et découvre rapidement que sa propre vie est en danger. Lorsqu’elle tombe amoureuse de l’agent Luke Bishop, non seulement son cœur et son esprit s’ouvrent-ils à un nouvel univers terrifiant, mais elle soupçonne que Luke pourrait être impliqué dans les meurtres. Dans une course contre la montre pour trouver la vérité, Kiera doit découvrir l’identité de la personne – ou de la chose – qui est responsable de ces meurtres abominables pendant sa ronde de vampires.

Roman de 258 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Priscilla. À découvrir 🤗

Une Silhouette au crépuscule de Valérie Gustave

Chronique de AMR

Dès que j’ai su que mon amie Valérie Gustave avait publié un livre, j’ai naturellement eu envie de le découvrir, attendant cependant la sortie de la version « papier » car je voulais une dédicace…
Une silhouette au crépuscule a doublé toute la file de livres de ma Pile À Lire, tant j’étais impatiente de le lire…
 
Impatiente, certes, mais j’avoue aussi une petite appréhension… Le titre me faisait penser à une romance et ce n’est pas trop ma tasse de thé ; le format plutôt court m’interrogeait sur la qualification de roman… Un récit à la première personne me faisait craindre un désir de catharsis…
 
Alors, oui, Valérie Gustave a créé un personnage féminin qui lui ressemble un peu, professeure de lettres dans un collège, sportive, dynamique, droite dans ses bottes…
Oui, le récit se passe à Castres, dans le Tarn, une petite ville qu’elle connaît bien, et moi aussi. Quel plaisir de lire ses mots qui me font redécouvrir des lieux familiers par le prisme de son regard aiguisé !
Pour ce que je connais de l’auteure, la part d’inspiration personnelle s’arrête là. En fait Valérie Gustave nous entraine à la suite de sa sympathique héroïne dans une enquête où le surnaturel aura une place de choix.
 
Valérie le sait, j’ai horreur des chroniques qui résument les livres ou, pire encore, qui divulgâchent… Je vais rester dans les limites de mon ressenti.
Combien de fois me suis-je perdue dans la contemplation d’un tableau au point de m’imaginer entrant dans la toile pour visiter des ailleurs fantasmés ? Combien de fois ai-je remarqué, dans les rues ou au gré de mes promenades, des gens ou des détails que personne d’autre n’avait remarqués ? Cette histoire m’a à la fois touchée et intriguée.
J’aime qu’un livre soit documenté, sentir que l’auteure sait de quoi elle parle ; je suis très sensible à l’intertextualité… Cette histoire donnera peut-être envie à ses lecteurs de découvrir la belle ville de Castres. Quant aux références, citées ou suggérées, disons qu’elles sont particulièrement parlantes : Joseph Denize et son tableau aux pouvoirs terrifiants, Théophile Gauthier et sa cafetière, Julien Lebourg et la malédiction de l’aquarelle ou encore Nicolas Gogol et Oscar Wilde pour des portraits surnaturels.
J’ai adhéré au pacte de lecture, suivi l’enquête de l’héroïne et ses rencontres avec d’étranges personnages : une inquiétante bibliothécaire, une archiviste polydactyle, un gardien de musée reconverti en agent d’entretien aux allures de Quasimodo, une femme sans domicile fixe dont la silhouette hante le récit…
J’adore quand un livre décrit des ambiances, des sensations… Ici, il y a des couleurs, des symboliques, des correspondances, des fils surnaturels qui enchantent le réel.
Et puis, c’est très bien écrit, fluide, sans lourdeur. Valérie Gustave a choisi une temporalité de tenue de journal : à chaque date, son lot de péripéties. Cette datation donne un sentiment d’urgence mais ancre le récit dans une forme de réalité.
 
Mais, car j’émets un petit bémol…
Tel que ce récit est construit, avec une brève unité de temps (à peine moins de deux mois), une unité de lieu (la ville de Castres), une certaine économie de personnages et une chute brutale, cette histoire, présentée comme un roman sur la quatrième de couverture, n’en est pas un. Pour moi, c’est une nouvelle, particulièrement réussie, certes, mais une simple nouvelle.
Pourtant, tous les ingrédients sont réunis pour en tirer un roman. Personnellement, je suis un peu restée sur ma faim ; j’aurais voulu que certains aspects soient davantage fouillés. Par exemple, dans les légendes anciennes ou dans la Bible, la polydactylie représente la manifestation du mal et le rôle et les motivations de l’archiviste mériterait que l’on creuse un peu. L’apparente cécité de la dame en mauve est évoquée, puis laissée en suspens, alors qu’elle suggère tout un monde intérieur surnaturel.
Si les ombres de Lovecraft ou de Stephen King planent bien sur ce récit, Une Silhouette au crépuscule mériterait de plus amples développements.
 
En conclusion, si Une silhouette au crépuscule est une nouvelle, elle est excellente… En tant que roman, c’est encore une ébauche.
Ainsi, je souhaite qu’une maison d’édition repère ce court récit, en voit le potentiel et…





Cette lecture valide :

La consigne n°59 du défi Les Déductions élémentaires

A propos du livre :

Résumé : L’été, dans le Tarn. Elisa s’étonne de voir une femme à l’allure distinguée vivre dans la rue. Elle va mener une enquête pour comprendre ce qui a bien pu lui arriver, et trouver l’origine de cette déchéance sociale qui l’indigne profondément. Ses recherches vont l’amener alors dans un univers surprenant dans lequel peinture et sorcellerie vont être étroitement mêlées. L’esprit cartésien d’Elisa va être totalement bouleversé.

Roman de 106 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage AMR. J’en profite pour le remettre sur le haut de ma PAL 😉

Les 7 Vies de Léo Belamy de Nataël Trapp

Chronique de Maggy

 Léo Belami, 17 ans, va vivre une semaine complètement folle. Il reste sept jours avant le bal de fin d’année. Il y a 30 ans, en 1988, une jeune fille du même lycée y fût assassinée. En ce dimanche matin, Léo se réveille dans le corps d’un autre, à une autre époque. Le voilà immergé dans les années 1980, seul capable de découvrir ce qu’il s’est passé trois décennies plus tôt.

Ce roman est destiné à un public adolescent et cela se sent dans la trame du récit. En effet, tout va très vite, les personnages multiples n’ont pas le temps d’être fouillés, les impacts des voyages dans le temps ne sont pas analysés. Pour les ados, c’est un très bon roman. Tous les ingrédients habituels sont là : les questions existentielles qu’on se pose à cet âge-là sur la liberté, le déterminisme, la compréhension de ses parents,…. Pour les adultes, tout cela manque un peu de profondeur.

Par ailleurs, les années 1980 sont vraiment bien croquées par l’auteur même si, bien entendu, Nataël Trapp va dans l’excès à certains moments. Bien normal puisque le lecteur cible n’a pas connu cette époque, présentée souvent de manière assez caricaturée. La playlist qui nous accompagne tout au long de la lecture ajoute une touche très intéressante et renforce l’ambiance retrouvée de notre propre adolescence.

Un très bon divertissement donc que je conseille de faire lire à vos ados et de prendre le temps après d’en discuter avec eux pour leur raconter vos propres souvenirs. Après avoir côtoyé Léo Belami, ils devraient être toute ouïe !




Cette lecture valide :

La lettre S/Titre du défi Le Petit Bac

A propos du livre :

Résumé : Léo, 17 ans, jeune homme solitaire et sans histoires, compte les heures avant la fin des cours. Il se prépare pour la fête du lycée, organisée cette année en hommage à Jessica Stein, une élève assassinée trente ans auparavant. Mais lorsqu’il se réveille le lendemain matin, c’est dans la vie d’un autre, dans la maison d’un autre… en 1988. Au gré d’allers-retours entre 1988 et 2018 dans des corps différents, Léo va tout tenter pour empêcher ce meurtre et découvrir l’identité du tueur. Pourra-t-il changer le destin ?

Roman de 378 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Maggy. Je veux bien replonger dans les années de mon adolescence ! 😍

Dôme, Tome 2 de Stephen King

Chronique de Iz43

A Chester Mill , le Dôme retient les habitants prisonniers. La situation se durcit. Après le choc des premières heures, (l’apparition du dôme, les multiples accidents) vient le temps des questionnements et du choix de son camp.
Big Jim Rennie 2nd conseiller de la ville voit une aubaine dans ce dôme et l’occasion de faire main basse sur la ville. Maître dans l’art de manipuler et de contrôler les gens, il s’entoure d’une équipe d’écervelés obéissant aveuglément. Quoi de mieux pour affirmer son autorité que de se trouver un bouc émissaire ? Voilà Barbie, son principal opposant, accusé de 4 meurtres et emprisonné. La résistance se construit. Mais il est dangereux de s’opposer à Big jim Rennie. On assiste à une apogée de la violence. Les différents acteurs s’enfonçant dans leurs mauvais choix et mauvaises actions inexorablement. Les choses se mettent à déraper complètement.
Alors oui il y a des gentils d’un côté et des méchants de l’autre. C est quand même rudement efficace . Je me suis laissée embarquée dans cette histoire. Je n’ai pas vu le temps passer et il ne m’a pas fallu longtemps pour dévorer ce pavé

Cette lecture valide :

La consigne n°17 du Défi Les expressions gourmandes

A propos du livre :

Résumé : Un matin d’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand – ou si – il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Jim Rennie, premier adjoint de Chester Mill, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran d’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville… Allégorie du totalitarisme, réflexion sur la nature humaine et sa résistance aux situations extrêmes, et page-turner irrésistible, Dôme signe le retour du King à son meilleur. Clémentine Goldszal, Elle.

Roman de 738 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Iz43. Une bonne lecture pour un hiver sous la couette 🤗

Ceux qui ne peuvent pas mourir, Tome 1 : La Bête de Porte-Vent de Karine Martins

Chronique de Claire

Gabriel voltz habite Paris avec une adolescente prénommée Rose. La spécialité de Gabriel est de faire la chasse aux égarés qui sont des créatures hérétiques.
Gabriel reçoit une mission de la confrérie. Il doit se rendre en Bretagne où une série de meurtres sévit. Gabriel part avec Rose qu’il a pris sous son aile. Ils commencent leur enquête. Vont-ils y arriver?
J’ai bien aimé le le livre. J’ai eu du mal à entrer dans l’histoire jusqu’à ce que l’enquête commence. J’ai adoré la façon dont l’auteure met en scène la relation entre Gabriel et Rose et les piques acidulées entre les deux personnages. Le livre m a donné envie de lire la suite de la trilogie. 

Cette lecture valide :

La lettre M du Défi Abécédaire

A propos du livre :

Résumé : France, 1887. Gabriel Votz travaille pour une puissante confrérie occulte qui traque les humains maudits et transformés en créatures diaboliques. Il est en mission en Bretagne, dans un village frappé par de nombreux meurtres particulièrement atroces, accompagné par Rose, une adolescente têtue et encombrante qui en sait beaucoup trop. Premier roman.

Roman de 360 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Claire. A découvrir 🤗

Journal d’un marchand de rêves de Anthelme Hauchecorne

Chronique de Laehb

J’ai été épatée par la qualité de ce roman science fiction / steampunk / young adult / fantasy etc ! Une très belle écriture, une densité incroyable, des personnages très recherchés et quelle imagination! Tout comme son héros, cet écrivain devrait songer à être scénariste ou metteur en scène, j’espère que ce roman sera adapté au cinéma ou en série, en tout cas je suis sûre que ce serait une superbe réalisation.
Auteur à suivre!
(Petite anecdote : je ne suis clairement pas la cible de ce roman ayant perdu mon adjectif «young» depuis plusieurs années. Ce qui m’a fait particulièrement sourire est la note explicative du nom Ceausescu, un petit coup de vieux de plus 😉 )

 

 

Cette lecture valide :

La consigne n°10 du Défi Les Expressions gourmandes

A propos du livre :

Résumé : « Journal d’un marchand de rêves » est une grande aventure au pays des songes !
Une interprétation du marchand de sable époustouflante…
Prix Imaginales 2017

J’ai séjourné en hôpital psychiatrique. Pas de quoi fouetter un chat sauf lorsque, comme moi, vous êtes fils de stars. Par crainte du scandale, mes parents m’ont expédié loin d’Hollywood, dans la vieille Europe.
Les meilleurs spécialistes m’ont déclaré guéri. En vérité, la thérapie a échoué. Les songes ont repris, plus dangereux que jamais.
Malgré moi, je me trouve mêlé aux intrigues de puissants Rêveurs. Des gens charmants et bien décidés à m’éliminer, mais avec élégance.
M’entêter serait totalement déraisonnable. Pourtant, deux plaies à vif m’empêchent de tourner la page… La première est une fille. La seconde, une soif de vengeance.
Je m’appelle Walter Krowley. Vous tenez mon journal intime. Prenez-en soin. Ce livre pourrait devenir mon testament…

Roman de 544 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Laehb. A découvrir 🤗

La maison de cendres de Hope Cook

Chronique de Maggy

Mila s’installe avec sa soeur et sa mère dans le manoir de Gravenhearst où des ondes maléfiques sont à l’oeuvre.
Presque deux cents ans plus tard, Curtis pense avoir hérité de la schizophrénie de son père quand il commence à entendre des voix dans la forêt, sur les ruines de Gravenhearst qui est parti en fumée à la fin du 19e siècle.

Hope Cook alterne avec brio les vies de Mila et de Curtis que plus d’un siècle sépare. La pierre angulaire de leur histoire n’étant rien de moins qu’une maison maudite que l’autrice parvient à nous décrire finement au point que nous entendons craquer les boiseries tout au long de la lecture.

Ce roman jeunesse plaira aussi aux adultes friands de magie, de maisons hantées et de mystère. Tous les codes du genre sont présents et l’histoire en elle-même tient la route. Hope Cook ne tombe pas dans la facilité puisqu’elle ruinera l’image du père jusqu’au bout, rendant ses personnages bien ancrés dans le réel malgré cet environnement fantastique. Les héros sont tous plus attachants les uns que les autres et 
la maison de cendres figure un protagoniste à part entière. »

 

 

Cette lecture valide :

La consigne n°29 du Défi Les Déductions élémentaires

A propos du livre :

Résumé : XXIe siècle. Quand il entend des voix au milieu d’une étrange clairière, Curtis doit affronter sa plus grande peur : aurait-il hérité de la maladie mentale de son père ? Dans sa quête pour trouver une réponse, il découvre l’histoire de Gravenhearst, un manoir labyrinthique, mystérieusement réduit en cendres en 1894. Parmi les rares articles mentionnant l’incendie, Curtis tombe sur la photo de Mila, une habitante des lieux. Fasciné par ce portrait, il le dérobe. XIXe siècle. Mila doit mener ses propres combats quand sa mère disparaît inexplicablement, les laissant sa petite soeur et elle sous la tutelle de leur cruel beau-père. Luttant de toutes ses forces, Mila cherche de l’aide pour s’évader de Gravenhearst, cette demeure maléfique qui dissimule bien des secrets. Séparés par le temps, Curtis et Mila pourront-ils briser le pouvoir malfaisant qui menace de les engloutir dans le néant ? Certaines choses refusent de rester enfouies dans le passé.

Roman de 416 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Maggy. A découvrir 🤗