JEUX LIT AVEC SALLY : Un livre québécois

C’était le thème du club de lecture du mois d’août

Nous étions 5 à explorer le sujet

Amélie a lu

Résumé : Nitassinan, août 1936. Sur ordre du gouvernement canadien, tous les jeunes Innus sont arrachés à leurs familles et conduits à plus d’un millier de kilomètres, dans le pensionnat de Fort George, tenu par des religieux catholiques. Chaque jour, les coups pleuvent : tout est bon pour « tuer l’Indien dans l’enfant ». Montréal, 2013. L’avocate Audrey Duval recherche des survivants. Dans une réserve de la Côte-Nord, elle rencontre Marie, une vieille Innue, qui va lui raconter tout ce qui s’est passé à Fort George, les violences au quotidien, mais aussi l’amour et l’amitié. Un roman d’une grande sensibilité qui dévoile un pan méconnu de l’histoire des Amérindiens du Québec, par l’auteur de Kukum.

Roman de 268 pages – se le procurer

La Chronique dAmélie

Ceux qui ont eu le bonheur de lire « Kukum » ne me contrediront sans doute pas, entrer dans la culture innue par cette porte fut une expérience intense, belle, douce. Suivre à pas de velours les traces d’Almanda reste et restera un sentiment unique dans ma vie de lectrice.
On y percevait pourtant dans sa deuxième partie une bonne part du lugubre destin que le pays réservait à ses autochtones et à leur terre. Déjà c’était un déchirement, mais rien de comparable avec la lecture de « Maikan ».

Dans la nouvelle parution de la collection Talismans, Michel Jean se rend cette fois au cœur de l’ignominie.

Dans une obsession de destruction culturelle, plus proprement renommée « assimilation », le gouvernement Canadien s’est octroyé le droit de séparer des enfants autochtones de leurs familles. Les envoyant dans des pensionnats religieux dont le rôle était de « tuer l’indien dans l’enfant », il les a ainsi exposés à de nombreuses tortures physiques et morales.

Là où tout n’est que brutalité, violence et domination, Michel Jean ose s’armer d’un style délicat et pudique. L’effet obtenu, loin d’atténuer la colère du lecteur, intensifie le sentiment d’injustice qui suppure de toutes ces blessures inqualifiables assénées aux corps et aux âmes.

Par le biais des histoires croisées d’une avocate énergique et de trois pensionnaires définitivement marqués par leur vécu dans le pensionnat de Fort George, les pages se tournent tandis qu’un sentiment doux-amer s’installe. Certaines choses ne peuvent être réparées, mais elles doivent être racontées.

J’ai été particulièrement émue par Marie, Virginie et Charles, qui dans la douleur ont su puiser la lumière les uns dans les yeux des autres et l’apaisement dans la chaleur d’un geste. J’ai aimé voir peu à peu Audrey afficher un visage plus doux, plus empathique et montrer qu’elle n’était pas qu’une exécutante armée d’une bonne intention de façade.

Ce livre vous mettra en rage, mais lisez-le !

Maggy a lu

Résumé : Une île non loin de Québec où les étés ont des allures de paradis. C’est là que les cinq enfants Miller, bientôt six, grandissent entourés d’amour, dans une maison aux portes ouvertes en grand. C’est que Gabrielle, leur mère, et Edward, leur père, n’hésitent pas à accueillir ceux dont la fortune, contrairement à la leur, n’a pas survécu au krach de 1929. Dans une société encore très puritaine dominée par une Église implacable pour les femmes, Gabrielle défend farouchement son clan et ce goût du bonheur qu’elle transmet à ses enfants aussi passionnés d’elle. « Marie Laberge signe une fresque vivante et généreuse. » Michel Grisolia – L’Express

Roman de 896 pages – se le procurer

La Chronique de Maggy

Je vais aller un peu à contre-courant des traditionnelles critiques écrites pour cette trilogie.
Je dois bien avouer que le contenu n’est pas inintéressant car beaucoup de thèmes sont abordés, sous l’angle canadien de surcroît. Donc, les ingrédients étaient là pour que je passe un bon moment: la condition de la femme dans les années 1930, le combat des suffragettes, les difficultés à allier religion et vie de couple, … le tout parsemé d’expressions québécoises. Mais finalement, j’ai eu l’impression de lire un roman de mœurs, et il faut bien avouer que durant le premier tiers je me suis franchement ennuyée.


Sans remettre en cause la qualité d’écriture de l’autrice, je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages et j’ai trouvé qu’il y avait vraiment trop de longueurs. La deuxième moitié m’a davantage intéressée, sans pour autant me captiver.
Bref, une déception qui ne me pousse pas à découvrir la suite de la série.


Priscilla a lu

Résumé : L’amour ne se rêve pas, il se vit ! Alors qu’elle s’attend à une demande en mariage, Sarah, pétillante trentenaire, tombe de haut lorsque Gabriel lui annonce qu’il la quitte. Profondément blessée par cette trahison, elle prend une décision radicale : se jeter à corps perdu dans son agence de relations publiques. Sept ans plus tard, Sarah enchaîne les succès professionnels et assume son célibat qui la protège d’une nouvelle désillusion amoureuse. Mais est-il si simple de renoncer à l’amour ?

Roman de 348 pages – se le procurer

La Chronique de Priscilla

J’aime bien ces histoires qui parlent d’amour mais sans romance 😁


Sarah, l’héroïne, est à la fois attachante, drôle, intéressante, intelligente, et surtout tout à fait crédible ( critère très important à mes yeux !)


L’auteure, elle, sait parfaitement faire passer des émotions et des messages forts tout en légèreté, avec une petite touche de cynisme qui me plaît particulièrement bien.


Pour résumer le fond est sympa, la forme tout autant…il y a donc de quoi passer un bon moment de lecture ! Pour moi ça l’a été en tout cas 🙂

Sofinette a lu

Résumé : Né en 1185 en pays Cathare, Gondemar, fils du seigneur de Rossal, n’est pas un enfant comme les autres. Il est né voilé, signe de malédiction. À 14 ans, il fait la connaissance de Bertrand de Montbard, ancien templier et maître d’armes redoutable qui protège le village des brigands. Au fil des années, Gondemar devient un guerrier féroce. Jusqu’au jour où il est assassiné. Après un séjour en enfer, il revient d’entre les morts avec pour mission de protéger  » la Vérité « . L’enjeu de cette quête où vont s’affronter Cathares, Templiers, Croisés et Parfaits : le salut de son âme !  » Impossible de lâcher ce thriller ésotérique nourri de détails sur le quotidien des seigneuries et les jeux de pouvoirs entre l’Église et les rois.  » Ça m’intéresse

Roman de 544 pages – Se le procurer

Chronique de Sofinette

Fils inespéré du vieux seigneur Florent de Rossal, Gondemar nait « voilé » et est donc décrété damné par tout le monde. Craint ou ignoré, il grandit solitaire auprès d’un père qu’il trouve trop faible envers ses serfs. Suite à une attaque de brigands qui massacrent et vandalisent la seigneurie de Rossal, Florent embauche un vieux soldat pour faire l’éducation militaire de son héritier. Eduqué à la dure, le petit Gondemar se révèle un tyran qui prendra la place de son père et mènera sa seigneurie à sa perte. Au cours d’un combat vengeur avec les brigands qui avaient attaqué son village. il meurt et se retrouve aux portes de l’Enfer où un archange lui propose un marché : revenir sur terre pour sauver son âme en défendant la Vérité.
Nous retrouvons donc notre tyran dans le Sud Ouest de la France où, de croisé en chasse des hérétiques, il se retrouve à devoir prendre la défense de ces mêmes cathares…
J’avais découvert Hervé GAGNON, auteur canadien, avec la série Malefica que j’avais adorée. Je retrouve avec délice cette écriture fluide et très référencée historique avec cette fois-ci comme toile de fond, la croisade contre les Cathares au XIIe siècle. »

Sally Rose a lu

Résumé : Dans un monde hostile et froid, où règnent la misère et l’obscurité, des enfants cherchent, à l’ombre de leur grand-mère toute-puissante, à préserver coûte que coûte le feu de leur rébellion et de leur désir d’innocence. Né par un matin d’hiver, Emmanuel réussira-t-il, au terme de sa première saison d’existence, à poursuivre cette lutte farouche pour la vie par la révolte, par la poésie et par l’amour ? Née en 1939 au Québec, Marie-Claire Blais est l’autrice d’une œuvre romanesque, poétique et théâtrale reconnue et récompensée dans le monde entier.  » C’est l’explosion d’une telle accumulation de forces que nous en demeurons étourdis… Le génie est là…  » Le Figaro  » L’autrice québécoise vivante la plus acclamée par la critique.  » The New York Times

Roman de 192 pages – se le procurer

Chronique de Sally Rose

Emmanuel nait un matin d’hiver dans une famille nombreuse et pauvre du Québec.
Je n’ai pas relevé d’élément qui permette de dater le récit mais ça doit être fin XIXe ou début XXe.
Durant cet hiver, quelques changements vont intervenir dans cette famille mais rien d’exceptionnel si on considère comme banals le décès d’adolescents et la vie dépravée de certains moines.
Car l’objet du roman est, me semble-t-il, d’aborder les sujets de la maladie, de l’inceste et de la pédophilie dans un environnement pauvre, misérable.
Je dis, me semble-t-il, car j’ai trouvé le récit assez brouillon avec des passages narratifs et des extraits de journal intime, des allers-retours dans la chronologie mais sans repères, je me suis perdue plus d’une fois.
Bien qu’il soit court, ce roman a été difficile à lire car trop confus à mon goût.

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Persuasion de Jane Austen

Chronique de Laehb

Persuasion, qu’on aurait pu nommer Vanité et Persuasion, voilà ce qui entoure la jeune Anne Elliot et l’éloigne de son âme sœur, Frédéric Wentworth, ni assez riche ni d’assez bonne condition pour prétendre à la fille d’un baronnet.
Je ne suis pas une inconditionnelle du genre romance que je trouve souvent mièvre, surtout les contemporaines que je trouve carrément cucul la praline ( pour pas dire neuneu ). Mais ce n’est pas le genre de Jane Austen qui nous offre toujours de belles héroïnes et je pense sincèrement que ce roman est mon préféré tant j’ai aimé ses personnages d’Anne et Wentworth,(pour l’instant). Anne n’est plus une jouvencelle, (à 28 ans on est une femme mûre), elle est tendre et douce et la constance de son amour la rend d’autant plus aimable en opposition à ses sœurs détestables et vaniteuses.
Qu’il est agréable de s’immerger dans la campagne anglaise du XIXe et participer à la vie de la petite noblesse. 200 ans plus tard, Jane Austen est toujours actuelle.

Cette lecture valide :

La consigne n°22 du défi Les Déductions élémentaires

A propos du livre :

Résumé : Depuis quand une jeune fille a-t-elle besoin qu’on lui dicte sa conduite ? Si elle s’est laissé persuader trop jeune de rompre ses fiançailles, Anne Eliott n’est plus dupe. Et lorsque son ancien amant réapparaît, auréolé de gloire, l’heure n’est pas à l’indécision. Pour Anne, il est temps de faire fi des convenances et de la vanité de son entourage ! «  À lire yeux baissés et genoux serrés pour goûter en secret le délicieux plaisir de la transgression des interdits. » Anne Barbe, Libération Traduit de l’anglais par André Belamich

Roman de 256 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Laehb. À découvrir 🤗

PS : I love you de Cecelia Ahern

Chronique d’Audrey

Une histoire poignante qui me laisse toute bouleversée.
Ayant éclaté en sanglots en moyenne un chapitre sur deux, autant dire que cette lecture ne se lit pas d’une traite malgré le plaisir que l’on a de vouloir voir défiler les pages. Des pauses sont nécessaires et pourtant je suis scotchée et impressionnée.

L’histoire est magnifique, sans fausses notes, du début jusqu’à la fin. Un jeune couple très soudé. L’un décède. Jeune, beaucoup trop jeune. Et si il est difficile de partir en laissant son âme sœur, il est très difficile de continuer à vivre sans son âme sœur également. Gerry laisse donc dix lettres à Holly. Une par mois. Pour l’aider à survivre puis tout bonnement à vivre…
Ces lettres ne sont pas longues et pourtant en quelques mots chargés d’émotions qui vous retournent comme une crêpe. Il faut dire que je me suis pas mal identifiée à Holly, ses réactions m’ont paru authentiques. Quel talent que possède cette auteure, pouvoir nous faire ressentir aussi pleinement la détresse de la jeune femme.

Bref c’est beau. C’est même drôle par moment. Mes passages préférés sont également les plus purs, ceux où l’on voit Gerry. Deux petits chapitres sur 41. Et pourtant…

Une vraie claque, bien mieux que le film qui est déjà très bon. J’en ai encore les larmes aux yeux à y repenser…

Cette lecture valide :

La lettre A du défi Abécédaire

A propos du livre :

Résumé : Quand on trouve l’âme sœur, on croit que le bonheur sera éternel. C’est ce que pensait Holly jusqu’à la mort de Gerry. À trente ans, elle se retrouve seule, sans espoir. Mais Gerry lui réserve une ultime surprise : dix lettres qui forment une liste de choses à accomplir pour réapprendre à vivre. Par-delà la mort, il lui adresse un message d’amour et de courage : elle sera heureuse sans lui, malgré le lien fort qui les unissait. Une comédie romantique, drôle et poignante, qui dépeint la vie telle qu’elle est : belle et triste à la fois.

Roman de 416 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Audrey. À découvrir 🤗

JEUX LIT AVEC SALLY : La couleur jaune apparaît sur la couverture

C’était le thème du club de lecture du mois de juillet

Nous étions 6 à explorer le sujet

Audrey a lu

Résumé : God damned ! Voilà que James Lacey, le charmant voisin d’Agatha Raisin, a disparu ! Renonçant à lui passer la bague au doigt, comme il le lui avait promis. C’est mal connaître Agatha. Délaissant son village des Cotswolds pour Chypre, où James et elle avaient prévu de célébrer leur lune de miel, elle part sur les traces de l’élu de son cœur, bien décidée à lui remettre la main dessus ! Mais à peine l’a-t-elle retrouvé, pas le temps de s’expliquer : une touriste britannique est tuée sous leurs yeux. Fidèle à sa réputation, Agatha se lance dans l’enquête, quitte à laisser filer James, las de ses excentricités… Avec plus de 200 000 exemplaires vendus, Agatha Raisin, l’héritière très spirituelle de Miss Marple version rock, a imposé sa personnalité loufoque et irrésistible. Vous reprendrez bien un peu de Worcestershire sauce dans votre thé ?

Roman de 290 pages – se le procurer

Une enquête légère, peut-être un peu trop légère à mon goût. Agatha Raisin, dans sa folle envie de reconquérir James Lacey (pourquoi ???) le suit dans ce qui devait être leur lune de miel : Chypre. Or, à l’instar de Miss Marple, les meurtres la suivent. De quoi pimenter leur quotidien sur place et rendre infernales ces vacances idylliques.

J’avoue être partagée sur cette enquête. On sait que ce sera léger mais pour le coup, je l’ai trouvé bien longue à venir. Surtout qu’on a l’impression que le meurtrier va se découvrir plus parce qu’il a peur qu’Agatha, avec sa réputation, s’en mêle, que parce qu’Agatha s’en mêle vraiment. L’aspect enquête est donc laissée de côté et les sentiments amoureux d’Agatha ont leur bonne place. Une trop bonne place à mon goût. La relation James-Agatha a de quoi lasser, je sais que je ne suis pas la première à le penser.
Le petit plus est le dépaysement de ce récit. La lecture, durant mes vacances d’été, m’a donné bien envie de découvrir l’île de Chypre et son histoire riche…

Kadeline a lu

Résumé : Les courants du Flux qui relient les systèmes stellaires de l’Interdépendance s’effondrent les uns après les autres. Conscients du danger, les plus riches se sont réfugiés au Bout, la seule planète habitable de l’empire. Ailleurs, quelques uns se mobilisent pour venir en aide aux plus démunis : Kiva Lagos Marce Claremont, Tomas Chênevert et l’Emperox Griselda II. Dernier volume de la série.

Roman de 320 pages – se le procurer

La Chronique concerne l’ensemble de la trilogie

L’interdépendance est un système de gestion de planètes. Grâce aux flux qui permettent un voyage rapide, chaque planète est spécialisée. Chacune dépend donc de toutes les autres pour sa survie. Si cette répartition semble un excellent gage de paix, elle est aussi sa principale faiblesse : que faire quand les flux sont en train de disparaitre, isolant des planètes qui peuvent survivre en autarcie ? 
C’est au début de cet événement critique, que l’on rencontre Cardénia, Kiva et Marce. Trois personnages dont l’importance et l’entente sont a priori plus qu’improbables et pourtant ils sont au cœur du plus grand chambardement depuis des siècles. Entre un scientifique doué mais maladroit, une emperox arrivée là par défaut et une fille de guilde malembouchée ne pensant qu’au sexe et au profit, l’avenir de l’interdépendance est mal partie. Comme l’effondrement de l’empire n’est pas suffisant, on peut ajouter une bonne dose de manigances pour prendre le pouvoir et sauver sa peau.
L’idée de base et l’univers sont géniaux. Les personnages principaux et secondaires sont haut en couleur tout en étant crédibles. Les manigances sont bien pensées et nombreuses. Les différentes problématiques sur ce que les puissants considèrent comme primordial en période de crise est angoissant de réalité. J’ai beaucoup aimé la variété de personnages féminins qui chacun à sa façon est réussi. Sur le même principe, la gestion des règles est un détail de l’histoire très pertinent. Entre réflexions politiques, actions, aventures, complots et personnages il y a tout pour passer un bon moment.
Et pour conclure sur cette excellente trilogie, on retrouve ce qui pour moi est la force de cet auteur, de l’humour et des réparties aux petits oignons.

Laehb a lu

Résumé : Quand Sheila Webb, jeune secrétaire intérimaire, arrive au 19, Wilbraham Crescent, elle trouve la porte ouverte. Elle s’installe au salon pour attendre le retour de Miss Pebmarsh qui a loué ses services pour l’après-midi. Surprise ! Elle découvre la pièce encombrée de cinq pendules qui avancent toutes d’une heure. Mais une surprise plus grande encore l’attend : le corps d’un homme caché derrière le canapé. Quand Miss Pebmarsh arrive enfin, elle est bien incapable d’expliquer quoi que ce soit… En effet Miss Pebmarsh est aveugle ! Heureusement Hercule Poirot, tout jeune retraité, a tout son temps pour venir démêler l’écheveau de cet imbroglio.  Traduit de l’anglais par Jean-Marc Mendel

Roman de 230 pages – se le procurer

La Chronique de Laehb

Encore une enquête où malgré tous les indices en poche je n’ai même pas entraperçu les motivations à cette mise en scène.  J’avais soupçonné le bon personnage mais n’avais aucune idée du pourquoi ni du comment. Il faut reconnaître que cette intrigue est particulièrement tordue, voire particulièrement tirée par les cheveux !
Le grand Hercule Poirot le dit lui-même,  on croirait lire une enquête policière de roman de gare.
J’y ai vu un clin d’œil d’ Agatha Christie à bon nombre de romans plus invraisemblables les uns que les autres mais qui ravissent le lecteur.  On se fait trimbaler de bout en bout et on en redemande !

Maggy a lu

Résumé : Un nouveau départ, l’envie d’y croire… Quand Axel, son mari, lui a proposé de quitter Paris et de déménager aux Engoulevents, le vieux manoir normand un peu délabré dont il a hérité, Margaux a dit oui. C’est vrai, les enfants auront plus de place ; lui, historien, n’a besoin que d’une bibliothèque et d’une bonne connexion internet ; elle, décoratrice, retrouvera facilement des clients. Et ils pourront toujours transformer une partie du domaine en gîte de charme. Mais si Margaux a accepté, c’est aussi pour une autre raison : elle veut tourner la page après une aventure qu’elle regrette encore et donner une nouvelle chance à son couple. Saura-t-elle trouver sa place dans un lieu chargé d’une histoire qui n’est pas la sienne ? Et comment regagner la confiance d’Axel ? Pourra-t-elle oublier ce qu’elle a laissé derrière elle, à Paris ? Axel, de son côté, réussira-t-il à revivre auprès de celle qu’il pensait si bien connaître ? Parviendra-t-il à se confronter à son passé et à faire des Engoulevents un véritable foyer ? Réparer les murs pour mieux réparer les cœurs. Pour ces deux âmes blessées reste L’espoir que le meilleur est à venir…

Roman de 265 pages. Se le procurer

La Chronique de Maggy

 Axel et Margaux ont quitté Paris pour investir le manoir des Engoulevents, héritage familial d’Axel. Quitter la Capitale où Margaux est bien implantée en tant qu’architecte paysagiste est un grand risque. Mais la Normandie est supposée être un nouveau départ pour le couple et ses deux enfants. Parce que Margaux a trompé Axel et que malgré cela, ils veulent se retrouver, retrouver la confiance qui les unissait, ressouder leurs liens… La terre d’enfance d’Axel sera-t-elle propice à cette reconstruction ou finira-t-elle par totalement détruire leur couple?

Quand on ouvre un roman de Françoise Bourdin, on sait à quoi s’attendre. Et pour moi, ses romans sont toujours des lectures doudou.
Comme d’habitude, l’autrice s’est attachée à une problématique universelle (le reconstruction d’un couple après un adultère), a campé ses personnages dans une région qu’elle n’hésite pas à mettre en avant pour servir l’intrigue (la Normandie, qu’elle connait bien puisque c’est là qu’elle réside), a construit des personnages qui ressemblent un peu à Monsieur et Madame tout le monde et a saupoudré le tout de beaucoup de bienveillance.

Comme assez régulièrement dans ses écrits, Françoise Bourdin fait la part belle aux personnages masculins et très vite on avale les pages aux côtés d’une famille sympathique qu’on aimerait bien avoir comme voisins.

La cuvée Bourdin 2021 reste donc dans la lignée classique de sa bibliographie et c’est tant mieux !

Sofinette a lu

Résumé : Providence, le grand nulle part. La bande d’Hugo, dit Bohem, s’englue dans un avenir opaque. Pour s’en affranchir, vivants et libres, ces rêveurs intrépides entreprennent une traversée du pays qui n’épargnera rien ni personne. Guidant leur devoir d’insoumission, trois valeurs tutélaires : loyauté, honneur et respect. Sur la route, Bohem et les siens feront l’expérience de la vie, splendide et décadente. A la fin du voyage, au bout de l’initiation, un horizon : la liberté. Jusqu’où iriez-vous par amour de la liberté?

Roman de 496 pages – Se le procurer

Chronique de Sofinette

Liberté, liberté chérie… Que dire qui n’ait pas déjà été dit sur cette merveille de roman de LŒVENBRUCK « Nous rêvions juste de liberté » ?
Basiquement, c’est l’histoire d’une bande d’ados « à la vie à la mort » qui décide de quitter la petite ville miséreuse de Providence pour tracer la route à motos. De rencontres en amitiés et en amour, de drogues en crimes et en meurtres, la bande de Bohem va-t-elle résister aux galères et à l’âge adulte ?
Un road movie splendide, poignant, irrésistible, une écriture fluide, rapide, captivante… à lire absolument !! »

Sally Rose a lu

Résumé : Voici les péripéties poignantes et drôles de Junior, un jeune Indien Spokane, né dans une Réserve. Rien ne lui sera épargné – il a été le bébé qui a survécu par miracle, l’enfant dont on se moque et il est désormais l’adolescent qui subit en soupirant coups de poings et coups du sort. Jusqu’au jour où cet éternel optimiste réalise qu’un déplorable avenir l’attend s’il ne quitte pas la Réserve. Admis à Reardan, une école prestigieuse surtout fréquentée par les Blancs, Junior se sent devenir un Indien à temps partiel…   « Vraiment excellent, poignant et hilarant, réconfortant et sincère, sage et intelligent… » Neil Gaiman

Roman de 288 pages – se le procurer

Chronique de Sally Rose

Junior est né avec une hydrocéphalie dans une réserve indienne.
Autant dire que son départ dans la vie était empreint de difficultés.
Junior nous raconte son enfance dans la réserve, sa famille, son meilleur ami, l’école, le basket …
Sa vie va être profondément modifiée lorsqu’il décidera d’aller à l’école des blancs.
C’est avec un humour décapant que l’auteur retrace son enfance passée sous le sceau de la différence, celui de la malformation et du racisme.
Les situations cruelles deviennent cocasses tant le narrateur est animé par le pardon et l’espoir.
Un très beau livre adressé à la jeunesse.
A noter de sympathiques illustrations dans la tonalité du récit

La petite reine de Freya North

Chronique de Maggy

Cat a décroché le privilège de suivre le Tour de France cet été pour le Guardian. La jeune anglaise, qui s’est prise de passion pour la Grande Boucle il y a quelques années devant sa télévision, rêve de décrocher à la fin de l’été, un poste permanent pour un magazine sportif. A peine remise d’une déception sentimentale, elle pose les pieds sur le sol français bien décidée à creuser son trou.

A la lecture de la 4e de couverture, on pense lire un énième feel good. Quelle erreur ! Bien entendu, on y retrouvera de l’amour et du sexe (sans fard). Mais ce roman est avant tout un sublime hommage aux coureurs du Tour de France. On sent que Freya North aime passionnément ces hommes courageux, dont on se désintéresse bien souvent une fois descendus de vélo.

La Petite Reine est découpée en fonction des étapes du Tour. Si au début, devant l’attitude un peu groupie de Cat, on craint de devoir se coltiner une nouvelle Bridget Jones à travers la France, bien vite, on s’attache à cette jeune femme qui joue des coudes dans un monde d’hommes. Parce que la course ne sert pas du tout de prétexte à l’auteure mais est agréablement mise en avant. Aussi bien les coulisses avec les soigneurs, les journalistes, les directeurs de courses, les coureurs… que celle que tout le monde voit dans son poste de télévision, à travers des articles écrits par l’héroïne. Grâce à ceux-ci, la lectrice néophyte que je suis a même fini par comprendre les enjeux de cette compétition qui, jusque là, ne m’intéressait pas du tout.

A travers ce pavé de plus de 500 pages, on se surprend à s’attacher à tout ce petit monde, à espérer que les coureurs mis en avant par Freya North remportent les étapes. On souffre avec eux dans la montagne, on a mal pour eux quand le froid s’invite, que les muscles se tétanisent, que les doutes assaillent les cerveaux, quand les chutes s’enchaînent… Une chose est certaine, on ne verra plus jamais le Tour de France comme avant.

Cette lecture valide :

A propos du livre :

Résumé : Catriona McCabe, 28 ans, décide de devenir journaliste sportive au moment où elle rompt avec son fiancé. Quoi de mieux alors que de partir en France pour suivre le Tour de France ? Elle fait la connaissance de Ben, de Rachel la masseuse de l’équipe américaine Megapac, des filles qui remettent les coupes et les maillots sur le podium après chaque arrivée, de la douce équipe de direction du Tour de France et bien entendu des… coureurs ! Sur fond de campagnes et de montagnes françaises, Cat découvre un univers de sexe, drogues et Lycra, mécanique, pommades de massages !

Roman de 539 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Maggy. A découvrir 🤗

Avec cette lecture, je conseille le thé Porte Bonheur de Fruit-tea (code PROMO sur la page Les Partenariats)

Textrovert de Lindsey Summers

Chronique de Priscilla

Maître mot: légèreté.
C’est frais, sympathique et offre un moment de lecture tout en fluidité.
J’ai préféré la première partie autour des échanges par textos que la partie romance qui était un peu trop plate à mon goût mais ça reste une lecture très agréable, idéale pour s’offrir une bulle de fraîcheur.

  


Cette lecture valide :

La consigne n°8 du défi Les Rougon-Macquart

A propos du livre :

Résumé : Non seulement Keeley a échangé par accident son téléphone avec celui d’un autre, mais en plus elle va devoir attendre une semaine avant de pouvoir le récupérer car Tavin, le garçon qui a pris son portable, a quitté la ville ! Les deux lycéens vont coopérer pour se transférer leurs messages et, à force d’appels et de textos, apprendre à se connaître. Jusqu’à leur rencontre fatidique où Tavin n’a d’autre choix que de révéler son identité. Maintenant qu’elle connaît la vérité, Keeley peut-elle encore lui faire confiance ? Et comment leur relation, née du mensonge, peut-elle survivre à la trahison ?

Roman de 329 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Priscilla. A découvrir 🤗

Prince captif Tome 3Le Roi de C.S. Pacat

Chronique de Iz43

Un dernier opus digne des deux autres. Que dis-je? Excellent. Sublissime. J’ai été captive de ce roman ne pouvant le lâcher jusqu’à la dernière ligne.
A la fin du tome 2, la véritable identité de Damen est révélée. Clash incroyable. Le prince que tout le monde pensait mort est bel et bien vivant et qui plus est aux côtés du prince de Vère. Scission dans les troupes. Certains sont fidèles à Damen et d’autres à son demi-frère Kastor. Laurent a bien du souci à se faire aussi. Le régent qui veut toujours son trône prête des accusations très graves sur Laurent dans le but de le conduire à un procès où Laurent n’ a aucune chance d’en sortir vivant tant les dés sont pipés.
Damen et Laurent décident d’unir leur force malgré leur passé (Damen a tué le grand frère de Laurent sur le champ de bataille).
Complots, trahisons, coup de génie, coup de théâtre. J’en suis toute retournée.
Et enfin surtout une histoire d’amour magnifique entre nos deux héros très bien menée.

Cette lecture valide :

La lettre P du Défi Abécédaire

A propos du livre :

Résumé : La vérité a été révélée, et Damen, l’esclave du prince Laurent, doit faire place à Damianos, prince héritier d’Akielos, l’homme que Laurent a juré de tuer. L’avenir de deux royaumes est en jeu. Cernés par l’armée de Kastor au sud et les forces du régent au nord, Damen et Laurent n’ont d’autre choix que s’allier pour reconquérir leurs trônes respectifs. Mais même si leur alliance résiste à la révélation de la véritable identité de Damen, parviendront-ils à venir à bout de la dernière manigance du régent ?

Roman de 384 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Iz43. Une trilogie à découvrir 🤗

Jusqu’où va l’amour de Jack-Laurent Amar

Chronique de AMR

En août 2019, j’ai eu le privilège de lire ce roman en avant-première à la demande de son auteur, qui cherchait des bêta-lecteurs(trices) ne connaissant pas son univers habituel…
Aujourd’hui, Jusqu’où va l’amour de Jack-Laurent Amar est enfin publié et trouve ses lecteurs, l’occasion pour moi d’en parler enfin au grand jour et d’apporter ma pierre à sa renommée naissante.
En toute honnêteté, je dois avouer que le titre a un côté « romance » qui ne m’aurait pas du tout attirée…, même par simple curiosité. Mais, sachant déjà que Jack-Laurent Amar était l’auteur d’un thriller (que je n’ai toujours pas lu), sa démarche m’avait suffisamment intriguée pour que j’accepte cette bêta-lecture. Conscient de ce décalage, l’auteur a d’ailleurs prévu un message pour ses lecteurs au début de son livre et, dans le courant du récit, son titre (que je qualifiais de « risqué » au départ) prenait sens peu à peu autour d’un jeu de mots et d’une variation sur le thème d’aimer « tout court » qui revenaient, tel un fil rouge, pour donner une réelle profondeur au récit.
Contre toute attente, j’ai signé le pacte de lecture et apprécié cette comédie sentimentale qui me semblait parfois proche de Sixième sens, le film de M. Night Shyamalan, en moins poussé cependant. Je me disais : « voyons donc où tout cela nous mène »…
 
Dès les premières pages, Tom et sa mère forment un duo craquant et attachant. Ils évoluent dans un décor vivant et réaliste avec juste ce qu’il faut de mystère pour captiver et accrocher les lecteurs.
Les dialogues sont très bien écrits, font « vrai » et naturel. Les problématiques sont actuelles : famille monoparentale, grand-mère alzheimer, maladie incurable… ; les lecteurs et surtout les lectrices s’y reconnaîtront sans doute.
J’adhère moins aux histoires de mômes et aux plaisanteries de cours de récréation ; tels quels, je les considère comme des respirations amusantes, des moments de fraîcheur dans un contexte plus grave.
L’écriture est fluide, agréable et rythmée avec une alternance des points de vue et des registres, aller-retour entre passé et présent : focalisation sur les enfants, puis sur les adultes, extrait de journal intime, retour au récit à la première personne, langage courant et plus châtié, recherché et métaphorique.
 
La rencontre entre l’écrivain et la belle journaliste n’a rien de vraiment original au départ mais elle sert d’écrin à toute l’histoire :  deux personnages un peu étrangers l’un à l’autre, rapprochés par un petit garçon à l’étrange pouvoir… Le retour ponctuel à cette situation initiale agit comme une mise en abyme, devient un récit dans le récit, fait d’Héloïse une sorte d’alter ego du lecteur : comme elle, on se demande quel rôle joue le narrateur dans l’histoire. 
En effet, l’originalité vient du fait que, dans la majorité du roman, l’histoire nous est racontée en partant du point de vue de l’enfant qui l’a vécue et non pas de l’adulte qui la raconte. Parfois, la linéarité du déroulement des événements est un peu bousculée, présentée selon des focalisations différentes.
J’ai beaucoup aimé la manière dont l’humour fait passer le côté un peu trop « guimauve » à mon goût de certains passages ; les scènes entre la mère de Tom et le beau et ténébreux voisin ont pu m’agacer un peu, je l’avoue, trop « clichés » à mon goût, mais Jack-Laurent Amar m’a gentiment remise à ma place et recadrée sur le sujet en m’expliquant sa vision personnelle des dits clichés ou stéréotypes dont la vraie vie est remplie…
Naturellement, les retournements de situation et le dénouement m’ont prise de court… Je ne peux rien dire de plus ici sous peine de divulgacher, mais c’est plutôt bien ficelé, croyez-moi sur parole et l’émotion est au rendez-vous !
 
Sachant que la romance n’est vraiment pas mon genre de prédilection, je reconnais que ce roman est très bien construit, original. J’ai passé un excellent moment et apprécié mes échanges avec son auteur…
Du coup, et même si cela n’a pas vraiment de rapport, j’ai bien l’intention de lire ses thrillers, L’ombre et sa lumière et Les Méandres du mal, où je serai peut-être plus dans mon élément.
 

 

Cette lecture valide :

La consigne n°10 du Défi Les Expressions gourmandes

A propos du livre :

Résumé : A 12 ans, Tom est un petit garçon espiègle et plein de vie. Il découvre qu’il est capable d’influencer l’univers, afin que tous ses vœux soient exaucés.
Élevé seul par sa mère à qui il voue un amour inconditionnel, il décide de faire de leur vie un véritable conte de fées. Pourtant, très vite, il réalise que tout ne se passe pas exactement comme prévu…
Et s’il existait un prix à payer à son incroyable don, une ligne d’horizon qui répondrait à la question : Jusqu’où va l’amour ?

Roman de 141 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage AMR. A découvrir 🤗

Prête à tout de Chloé Wilkox

Chronique de Ptitmousse

Voilà un petit roman-érotico-romance léger, relativement bien écrit (comparé au peu que j’ai pu lire en romance mais qui parfois sont une horreur au niveau style, c’est même plutôt le haut du panier !).
C’était sympa le côté télé-réalité, bien que finalement ce soit peu présent ! Il y avait, enfin, un petit suspense en fin de lecture.
Un livre détente qui remplit toutes les conditions de ce genre.

Cette lecture valide :

A propos du livre :

Résumé : Deux inconnus irrépressiblement attirés l’un par l’autre passent ensemble une nuit passionnée. Ils n’ont pas prévu de se revoir. Oui mais voilà, elle, c’est Tess Harper, candidate à Petits secrets entre amis, prête à tout pour gagner cette émission de télé-réalité et remporter la cagnotte qui la sortira enfin de ses problèmes financiers. Lui, c’est Colin Cooper, il est producteur, plutôt intello, et déteste les paillettes et les bimbos. Et surtout : ils n’avaient pas le droit de se rencontrer, car Colin est lié à l’émission à laquelle participe Tess.
Tous les deux ont désormais le pouvoir de faire chanter et tomber l’autre. Peuvent-ils se faire confiance ? Le pari est risqué. De toute façon, ils n’ont pas le choix car la situation se complique et visiblement certaines personnes sont décidées à rendre leur amour impossible.

Roman de 508 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Ptitmousse. Pour les amateurs du genre 😉

Comment ne pas faire pitié à Noël quand on est célibataire de Joanna Bolouri

Chronique de Priscilla

S’il ne fallait lire qu’un livre pendant cette période de Noël, c’est bien celui-ci !

C’est drôle, léger, rafraîchissant. Tout est réuni pour obtenir une lecture divertissante et hyper plaisante…un pour bonheur ❤


Je n’ai rien à dire d’autre que: lisez-le 🙂



  


Cette lecture valide :

La consigne n°2 du défi Les Expressions gourmandes

A propos du livre :

Résumé : «  La réponse de l’Écosse au Journal de Bridget  Jones  ». Daily  Record   Noël, le cauchemar de tout célibataire  ! À trente-huit ans, Emily a un travail satisfaisant, des amis fabuleux, et surtout, un appart merveilleux, situé à 661 kilomètres de sa famille un peu trop intrusive. Sa seule source de stress est Evan, son jeune voisin, qui a tendance à écouter la musique à fond, et fait encore plus de bruit la nuit… Mais qu’importe  ! Heureuse en couple avec Robert, Emily espère bien l’inviter chez elle pour Noël et lui présenter ses parents. Finies les questions indiscrètes  ! Mais quand Robert rompt avec elle, Emily en est malade. Comment va-t-elle pouvoir affronter sa famille  ? Bien déterminée à reconquérir Robert, Emily fait appel au fêtard d’à côté…   « Si vous entendez glousser au bord de la piscine cet été, ce sera à cause de ce livre.  » Grazia «  Une approche effrontée du sexe et de la romance.  » List  Magazine «  Très mignon et à mourir de rire  !  »The Sun «  Une lecture très coquine mais amusante qui va vous couper le souffle et vous faire éclater de rire l’instant d’après.  » Abby  Clements «  Obscène et hilarant… Vous allez vous tordre de rire sur la plage  !  » The Scottish  Sun  «  Incroyablement drôle et très sexy (à en rougir  !), lire ce roman fait un bien fou.  » No. 1 Magazine «  Une héroïne farfelue et des scènes hilarantes à chaque page… C’est sans le moindre doute le meilleur livre que j’ai lu cette année. Il me tarde de voir ce que nous réserve Joanna  Bolouri  !  » Novelicious «  Sexy, malin et scandaleux, je le recommanderais à tous ceux qui ont le goût de l’aventure.  » Victoria  Fox

Roman de 480 pages – se le procurer

Le mot de Sally Rose

Merci beaucoup pour ce partage Priscilla. Il n’y a pas de saison pour Noël 😁