Résumé : Candide nous conte les mésaventures d’un voyageur philosophe qui affronte les horreurs de la guerre et les sanglants caprices de la Nature ; qui connaît les désillusions de l’amour et découvre les turpitudes de ses semblables, faisant à l’occasion l’expérience de leurs dangereuses fantaisies. Pourtant si l’homme est un bien méchant animal et si l’existence n’est qu’une cascade de catastrophes, est-ce une raison pour que le héros perde sa sérénité et le récit son allégresse ? Sous la forme d’une ironique fiction, Candide propose une réflexion souriante sur l’omniprésence de la déraison qui puise sa force aux sources vives d’une expérience humaine, celle de l’auteur. Candide, on l’a dit, ce sont les « Confessions » de Voltaire, et c’est en cela qu’il nous émeut. Mais ce « roman d’apprentissage » est aussi – et peut-être surtout – un festival merveilleusement ordonné de drôlerie et de fantaisie sarcastique, ruisselant d’un immense savoir maîtrisé qui ne dédaigne jamais de porter le rire jusqu’au sublime. C’est en cela qu’il nous éblouit et qu’il nous charme.

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Participants :
- Maggy
- Ranine
- Sally Rose
Hello ! Aller, je me laisse tenter…
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Dans mon souvenir, c’est assez drôle 😊
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Hello ! Je viens ici mettre mon humble avis :
J’ai « travaillé » ce texte en première, il y a fort longtemps. Bon, évidement, j’étais passé à côté ! Je le redécouvre avec un peu plus de maturité (enfin, j’espère !)
Il est où le bonheur ? Dans le fait de cultiver son jardin ? Dans l’acceptation ? Dans la tolérance ?
Ou comme le disait Du Bellay :
« Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge ! »
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